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L'histoire qui met en doute vos yeux.

—Jin


Headphone Actor (ヘッドフォンアクター Heddofon Akutaa) est la quatrième chanson de la série.


Informations[]

Cette chanson a atteint plus d'un million et demi de vues sur Nico Nico Douga. Cette chanson est consacrée à Takane Enomoto.

Par une journée ordinaire, Takane entend à la radio le président annoncer la fin du monde. Elle met son casque pour arrêter de trembler lorsqu’elle entend tout à coup une voix lui demander si elle voulait survivre. La voix dans son casque lui dit d'atteindre la colline en 20 minutes si elle voulait savoir ce que cela signifiait, en bien ou en mal. Tout allait disparaître, alors elle n'avait pas d'autres choix que de l'écouter. Quand elle atteint la colline, elle voit des scientifiques derrière un mur qui cache le ciel. Elle découvre sa ville n'était qu'un sujet d'expérience. Les scientifiques lancent une bombe et Takane voit alors sa ville partir en cendre. La voix dans son casque lui dit alors "désolée". Takane a affirmé que la voix dans son casque était en fait la sienne.


Paroles et traduction[]

Kanji
Romaji
その日は随分と平凡で
Sono hi wa zuibun to heibon de
当たり障りない一日だった
Atarisawari nai ichinichi datta
暇つぶしに聞いてたラジオから
Hima-tsubushi ni kiiteta rajio kara
あの話が流れだすまでは
Ano hanashi ga nagaredasu made wa
非常に残念なことですが
Hijou ni zannen na koto desu ga
本日地球は終わります と
Honjitsu chikyuu wa owarimasu to
どこかの国の大統領が
Dokoka no kuni no daitouryou ga
泣きながら話をするまでは
Nakinagara hanashi o suru made wa
窓の外は大きな鳥たちが
Mado no soto wa ooki na tori-tachi ga
空覆い尽くしてく渋滞中
Sora ooitsukushiteku juutaichuu
三日月を飲み込んで
Mikadzuki o nomikonde
どこかへと向かってる
Dokoka e to mukatteru
やりかけてたゲームはノーセーブ
Yarikaketeta geemu wa noo seebu
机にほぼ手付かず参考書
Tsukue ni hobo te tsukazu sankousho
震える身体をいなすように
Furueru karada o inasu you ni
すぐにヘッドフォンをした
Sugu ni heddofon o shita
不明なアーティスト項目の
Fumei na aatisuto koumoku no
タイトル不明のナンバーが
Taitoru fumei no nanbaa ga
途端に耳元流れだした
Totan ni mimimoto nagaredashita
「生き残りたいでしょう?」
"Ikinokoritai deshou?"
蠢きだす世界会場を
Ugomekidasu sekai kaijou o
波打つように揺れる摩天楼
Namiutsu you ni yureru matenrou
紛れもないこの声はどう聞いても
Magure mo nai kono koe wa dou kiite mo
聞き飽きた自分の声だ
Kikiakita jibun no koe da
「あの丘を越えたら20秒で
"Ano oka o koetara nijuu-byou de
その意味を嫌でも知ることになるよ
Sono imi o iya demo shiru koto ni naru yo
疑わないで耳を澄ませたら 20秒先へ」
Utagawanaide mimi o sumasetara nijuu-byou saki e"
交差点は当然大渋滞
Kousaten wa touzen daijuutai
もう老若男女は関係ない
Mou roujakudanjo wa kankei nai
怒号やら赤ん坊の泣き声で埋まってく
Dogou yara akanbou no nakigoe de umatteku
暴れだす人 泣き出す少女
Abaredasu hito nakidasu shoujo
祈りだした神父を追い抜いて
Inoridashita shinpu o oinuite
ただ1人目指すのは逆方向
Tada hitori mezasu no wa gyaku houkou
あの丘の向こうへと
Ano oka no mukou e to
ヘッドフォンから依然声がして
Heddofon kara izen koe ga shite
「あと12分だよ」と告げる
"Ato juuni-bun da yo" to tsugeru
このまま全て消え去ってしまうなら
Kono mama subete kiesatte shimau nara
もう術は無いだろう
Mou sube wa nai darou
ざわめき出す悲鳴合唱を
Zawameki dasu himei gasshou o
涙目になってかすめる10秒
Namida me ni natte kasumeru juu-byou
疑いたいけど誰がどうやっても
Utagaitai kedo dareka ga dou yatte mo
終わらない 人類賛歌
Owaranai jinrui sanka
「駆け抜けろ、もう残り1分だ」
"Kakenukero, mou nokori ichi-bun da"
その言葉ももう聞こえない位に
Sono kotoba mo mou kikoenai kurai ni
ただ目指していた丘の向こうは
Tada mezashiteita oka no mukou wa
すぐ目の前に
Sugu me no mae ni
息も絶え絶えたどり着いたんだ
Iki mo taedae tadoritsuitanda
空を映し出す壁の前に
Sora o utsushidasu kabe no mae ni
その向こう白衣の科学者たちは
Sono mukou hakui no kagakusha-tachi wa
「素晴らしい」と手を打った
"Subarashii" to te o utta
疑うよ
Utagau yo
そこから見る街の風景は
Soko kara miru machi no fuukei wa
まるで実験施設のようでさ
Maru de jikken shisetsu no you de sa
「もう不必要だ」
"Mou fuhitsuyou da"
科学者は片手間に爆弾を投げた
Kagakusha wa katatema ni bakudan o nageta
箱の中の小さな世界で
Hako no naka no chiisa na sekai de
今までずっと生きてきたんだなと
Ima made zutto ikite kitanda na to
燃え尽きていく街だったモノを
Moetsukiteiku machi datta mono o
ただ、呆然と見る耳元で
Tada, bouzen to miru mimimoto de
ヘッドフォンの向こうから
Heddofon no mukou kara
「ごめんね」と声がした
"Gomen ne" to koe ga shita

(Traduction non-officielle)

C'était une journée très ordinaire,
Sans un seul obstacle sur mon chemin
Depuis radio que j'écoutais pour tuer le temps
J'ai entendu une voix qui disait :
"C'est vraiment triste à dire
Mais notre monde touche à sa fin"
A dit notre président, en larme.
Par la fenêtre, une nuée d'oiseaux
Couvrait le ciel
Et cachait la lune,
Allant vers une direction inconnu...

J'ai un jeu moitié fini sans sauvegarde
Et un livre à peine entamé sur mon bureau
Pour arrêter les tremblements de mon corps,
J'ai rapidement mis ​​mon casque.

J'ai alors entendu un artiste plutôt sombre
Le titre de la chanson m'était inconnu
Les paroles qui me venaient aux oreilles étaient :
"Tu veux survivre, n'est-ce pas ?"

Le monde commença à s'agiter,
Les grattes-ciel semblaient trembler
J'étais fatiguée d'entendre
Cette voix qui était la mienne.

"Si tu arrives à atteindre cette colline en 20 secondes
Tu comprendras ce que je veux dire, en bien ou en mal
Il te suffit de m'écouter et ce pendant 20 secondes."

L'intersection principale était bondée, bien sûr
Hommes, femmes, enfants, cela n'avait pas d'importance
J'étais enseveli sous les hurlements de la foule et les cris des bébés.

La foule était déchaînée, des jeunes filles sanglotaient
Un prêtre était en train de prier, tout le monde me dépassait
J'étais la seule personne à aller dans l'autre sens
Vers ce qui se trouvait au-delà de la colline

La voix qui venait de mon casque persistait
"Plus que 12 minutes" disait-elle
Tout allait disparaître
Alors je n'avais pas d'autres choix que de l'écouter

Les cris et les hurlements
se seront arrêtés dans 10 minutes
J'ai des doutes sur ce que je fais, mais peu importe
Il n'y avait pas de chanson sur la fin de l'humanité
"Cours, cours, il ne reste qu'une minute."
Mais je ne pouvais pas l'entendre à ce moment-là ;
La colline que je cherchais à traverser
Etait juste devant moi.

A bout de souffle, je suis enfin arrivée
Devant un mur qui cachait le ciel
Derrière, les scientifiques applaudissaient
"Magnifique" disaient-ils

Des doutes m'envahirent
De là, j'ai vu que la ville
N'était qu'une sorte de dispositif expérimental
"Elle ne nous est plus nécessaire"
Dit un scientifique en lançant calmement une bombe.
On m'avait dit que j'avais vécu
Toute ma vie dans un petit monde, enfermée dans une boîte.
Donc, je ne pouvais que regarder, abasourdie
La ville où je vivais partir en cendre
Et depuis le casque que je portais,
J'ai entendu un léger "désolé" ...


Références[]

Traduction française à partir de la traduction anglaise

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